Algérie, révolution aussi pour les médias : l’Internet tire profit de la censure de la presse
17 juin 2019 19:54, par vaurienTout le monde vit sous la dictature, nécessité oblige. La nécessité par les temps anciens nous était imposée par la nature et ses caprices, comme sécheresse, appauvrissement des terres agricoles, guerre, cataclysmes, etc. Et depuis, pas grand-chose a changé, seulement ce que la nature offrait plus ou moins directement passe maintenant par différentes pratiques d’acquisition, de transformation et de gestion et qu’on nomme l’économie et qui fait que nous nous éloignons de la nature et de notre dépendance à son égard d’une manière factice et seulement factice.
Quand tout marche bien ou relativement bien et que tout le mon monde fait bombance plus ou moins allègrement surtout si on peut se le permettre en vivant sur la soumission d’autres peuples et leur appauvrissement, on se monte le bourrichon et on se dit qu’on vit sous le meilleur régime du monde est ce régime s’appelle la démocratie. Et quand c’est le contraire et que la machine économique commence à grincer, tout le monde se met à crier à la dictature comme dans les pays soumis à la nécessité de la survie soit par opposition soit par soumission.
Au fond, il n’y a aucune différence entre dictature et démocratie, ce sont deux vases communicants et s’alimentent mutuellement. Imaginons que l’Arabie Saoudite soit vraiment une démocratie et que son peuple décide de ne plus vendre son pétrole ou de le vendre à qui il veut selon ses désirs. Ça sera la panique généralisée et le peuple saoudiens sera pulvérisé par un nuage de bombes.
L’ennui et la dictature ne vont pas ensembles. On s’en nuit moins en dictature qu’on démocratie. Et en dictature= pays pauvre, seule une élite a accès à internet, car ça coûte la peau des fesses et ça enrichie les pays détenteurs de la technologie internet et ses réseaux.