La chronique judiciaire d’E&R, avec Alain Soral
18 juin 2019 00:49, par omarmaconvaincu
On peut voir l’abolition de la peine de mort comme une valorisation de la vie d’un assassin, mais on peut également la voir comme une précaution permettant de corriger d’éventuelles erreurs judiciaires.
Omar Raddad serait-il vivant aujourd’hui si la peine de mort avait été en vigueur en 1994 ?