"l’impression d’une approche religieuse des choses (...) de type sorcellerie : y’a des choses qu’on touche, d’autres qu’on ne touche pas, ce serait contaminant par le contact "
Concrètement, j’ai un pote qui habitait un immeuble où des résidents juifs cassaient littéralement les dispositifs de minuterie, de sorte que toutes les parties communes demeurent éclairées pour shabbat, sans avoir à toucher ("se souiller") un interrupteur.
Tout l’immeuble n’étant pas habité par ces juifs, évidemment.
On te parle des prières de rue de l’islam, mais ça par exemple, non.
Alors qu’une prière de rue n’endommage rien, et n’est que le signe d’un manque de moyens matériels.
Tandis que là, ça casse, ça fracture, au détriment des autres, pour imposer sa loi.