France : des urgentistes s’injectent de l’insuline pour faire plier le gouvernement
4 juillet 2019 18:40, par RrexX
Je reprends à mon compte quelques constats de @Luigi
Sans parĺer de sous effectifs, le métier d’urgentiste doit faire face à des changements sociétaux.
80 % des appels au moins ne sont pas des urgences au sens vital et sont le fait de gens anormalement inquiets voire angoissés. Les femmes représentent le gros des troupes des appelants pour ce que j’en sais.
De plus les généralistes n’assument plus les petits bobos comme par le passé renforçant le sentiment que hors service d’urgence point de salut.
On va droit le mur si rien n’est fait