L’Iran annonce avoir "confisqué" un pétrolier britannique dans le détroit d’Ormuz
20 juillet 2019 12:16, par preuvequ’ilsn’ontpaspeur-eux !On n’peut plus douter qu’ils ont tous les muscles ronds béants devant toutes les menaces et mesures contraignantes unilatérales prises contre eux.
Ou alors ils ont fait un calul, simple, mais, somme toute peu risqué, qui conisterait à dire aux adversaires :
Vous n’avez aucune emprise réelle sur vos opinions repectives, car elles voient que vous n’êtes même pas maîtres chez-vous, donc, tentez d’embraser notre pays et les conséquences dans les vôtres seront automatiquement hors de votre contrôle... et, nous veillerons attentivement à ce que le climat de défiance au sein de vos peuples soit paroxismique, nous et nos communautés alliées dont le poids économique et effectif n’est pas négligeable.
Toute aventure guerrière de la fauconnerie contre l’Iran se conclura par un fractionnement dangereux des opinions occidentales, déjà bien lézardées...
À la différence des nôtres, les populations des autocraties sont dans une meilleure cognitive en cas de conflagration vis-à-vis de leurs diigeants, ils feront bloc derrière eux.
Car, elles vivent en situation d’agressées depuis fort longtemps et, leurs autocrates ayant suffisemment bien joués le coup d’une volonté de désescalade des conflits autant que celle de préservation de la paix mondiale, sans pour autant adopter une posture de soumission.
Font que, les sans cesse remises en cause de nos paroles données cumulées à la marche forcée qu’impose le pseudo-progressisme aboutissent dans les foyers occidentaux en une totale invisibilité de l’avenir.
La guerre dans l’esprit occidental signifie l’anéantisement de l’espoir, dans les camps en face, même s’ils ne l’envisage pas comme une partie de plaisir, elle ne pourraît être qu’une amélioration de leurs sorts, quelle qu’en soit l’issue ou le vainqueur.
Ils combattront à n’en pas douter plus férocement qe nous au début, or, un tel embrasement n’aurait aucun intérêt à s’éterniser sans risquer la pérennité de la vies sur terre. Donc, il va bien falloir à nos stratèges conclure pour leurs chefs de guerre que nos pays courent au désastre si la voie diplomatique qui respecte l’ensembe des partenaires dans leurs prérogatives n’est pas la seule privilégiée.
En réaité, la fin de partie est proche, soit nous concevons qu’il n’y ait qu’un seul gros perdant, on sait tous qui... Soit, tout le monde va ramasser, mais, l’utopique poursuite d’un cauchemar éveillé vivra un épilogue d’une violence jamais vue.
Là, les jeux sont faits !