L’Empire du faux (2/3) : l’assassinat de John Lennon
5 août 2019 15:26, par Alençon
contrairement à ce qu’ indiquait son arrogance, et sa fierté d’ enfant blessé ; il n’ avait pas une maîtrise intellectuelle de son destin/oeuvre aussi sûre qu’ il nous sembla.
jamais Mac Cartney ou g. Martin n’ auraient pu se retrouver sous la "direction" d’ une cinglée comme yoko par exemple !
la 10aine d’ année de carrière solo de john a été pour lui une immense "reprise en mains" de sa production artistique, et "le joug" de yoko lui a semblé bien plus léger que celui des Beatles (Mc Cartney, Martin) finalement...il était le genre d’ artiste qui a besoin d’ être émus par ses propre créations ; mais en trouvant le bonheur avec yoko, l’ inspiration que procure le dépit affectif s’ est tarie pour faire place aux idéologiques infantiles de la japonaise.
(notez qu’à la mort de john, elle s’ est comportée comme une rapace, sans pitié pour l’ autre fils (julian Lennon) issue d’ un 1er mariage)