Petites informations concernant les Georgia Guidestones, sujet sur lequel je m’étais penché il y a une bonne dizaine d’années.
1/ Le choix de l’emplacement des pierres n’est pas anodin. Différentes recherches ont été effectuées par les protagonistes afin de trouver un emplacement en hauteur (colline) et qui d’après certaines informations non sourcées représenterait le centre du monde pour les différentes peuplades amérindiennes.
2/ Tous les intervenants dans le projets, que ce soit le banquier qui a gérer les affaires par procuration, les responsables de la société qui extrait le granit et qui s’est occupé de l’érection du monument, les propriétaires terriens qui ont cédé la concession du terrain où se trouve le monument font tous partie des loges "Shriners" locales. Des émanations paramaçonnique aux USA. Cette information n’est pas cachée, elle est inclue directement dans les sources accessibles dans la plaquette que l’on trouve au musée d’Elberton.
3/ Non seulement les pierres sont traduites en huit langues, mais l’orientation des pierres par les flans correspondent globalement à la direction des territoires où ces langues sont encore pratiquées.
4/ Le projet n’est pas terminé. En effet, au delà du moment lui même il y a une pierre qui donne des instructions pour une future capsule temporelle qui doit être enfouie : "Placed six feet below this spot on" et "To be opened on" soit "Placé six pied sous ce point le ..." et "Pour être ouvert le ..." les dates ne sont pas gravées, ce qui sous-entend qu’un événement doit avoir lieu à une date incertaine et qu’une capsule temporelle sera placée là en temps voulu avec une date d’extraction relative à celle-ci.
5/ Etant donné que le gestionnaire par procuration et que la majorité des intervenants du projet originel sont décédés. Et que certaines actions récentes ont eu lieu (ajout d’une clôture, d’un parking, entretien général du site, ajout de caméra de surveillance, nettoyage après saccage à la peinture, rectification du monument après l’ajout de cubes numérotés dans les angles par des inconnus), il convient de considérer que ce projet est toujours pris en charge financièrement, soit 39 ans après son inauguration. Il ne s’agit donc pas d’un simple délire d’un petit groupe d’illuminés qui "cherchent l’age de raison" (voir la signification officielle du projet) à l’aube des années 80, mais d’un projet qui s’inscrit dans le temps et dont la finalité reste encore occulte.