Le pédophile Jeffrey Epstein travaillait-il pour le Mossad ?
16 août 2019 21:12, par Etre et durerSi la dimension internationale, l’envergure et la finalité (c’est à dire l’espionnage à grande échelle des US au seul profit d’Israël) du système décrit ici semble inédite dans l’histoire américaine, il rappelle finalement assez bien par ses méthodes, celui mis en place par les grands studios hollywoodiens dans les 50’s avec le soutien et la participation du LAPD, du FBI et des tabloïds de LA pour purger l’industrie du cinéma de ses éléments subversifs mais aussi pour faire plier les producteurs indépendants et s’assurer la docilité des stars.
Le scénario est le même et dans les deux cas il s’agit d’une immense entreprise d’extorsion de fonds, de chantage et de corruption des moeurs au profit d’une obscure nébuleuse cosmopolite et malfaisante.
Au départ, il y a toujours une célébrité avec des désirs inavouables et un goût prononcé pour certaines déviances reprouvées par la morale et condamnée par la loi. Les hommes de mains des studios (mafieux, agents véreux, privés et autres porte flingue) s’arrangent pour satisfaire la demande du client.
Le FBI le met sur écoute et organise des filatures. Le LAPD prévient les journalistes de la presse à scandale (the Enquirer, LA confidential,...) et se graisse la patte au passage. Le poisson est pris dans la nasse.
Ensuite il est facile d’obtenir de lui des confidences, des aveux, des services, des
dénonciations et quantité d’autres preuves de servilité.
Balance tes potes cocos, les gouines, les pd, les amateurs de petits garçons.... Renonce a tes cachets mirobolants, signe ce contrat qui t’enchaine à vie, renonce à tourner ce film, témoigne lors d’un procès organisé par le comité des activités anti américaines qui lui même est destiné à servir les ambitions politiques de Hoover (lui-même victime de chantage de la part de Santos Traficante qui était en possession de photos très compromettantes sur lesquelles Hoover apparaissait déguisé en femme). La boucle est bouclée.
Tout cela est très bien décrit dans les romans de James Ellroy. Mais au fait, qui sont les propriétaires des grands studios depuis leur création ? Quels intérêts ont-ils servis à l’époque ? Ceux de l’Amérique ou ceux d’Israël ?
Je pense que le système Epstein n’est que la version actuelle d’une entreprise beaucoup plus ancienne au service des mêmes causes : la grandeur d’Israël et la décadence de l’Occident.