Von Choltitz au Figaro en 1949 : "Pourquoi je n’ai pas détruit Paris"
28 août 2019 17:20, par masque de chair
Il me cria au visage… Sa terminologie devient sanguinaire, l’excitation marquait chacune de ses expressions, la salive lui coulait de la bouche, son corps était secoué de tremblements. Je compris qu’un homme gagné par la folie se dressait devant moi.
Je conseille à ceux qui croiront (de bonne foi) ces lignes de lire le livre récemment traduit de l’aide de camp militaire d’Hitler, von Below : À la droite d’Hitler, livre qui n’a rien d’une hagiographie, mais qui prouve (parmi d’autres témoignages directs) que celui qui delirait est plutôt notre général.