"Mon frère, ce bourreau" : lettre d’Alexandre à son frère Yann Moix
26 août 2019 15:59, par Nuit blanche
Son amour infini des migrants qu’il trompette à qui veut bien l’entendre n’est qu’une volonté d’occultation de son ignominie, de sa bassesse et de sa cruauté abyssales.
Le parfait candidat aux basses oeuvres du régime macroniste et de sa perversité.
(Soit dit en passant : il faut lire le texte dans son entièreté.)