"Mon frère, ce bourreau" : lettre d’Alexandre à son frère Yann Moix
27 août 2019 12:11, par EnkiLes « malimenteurs médiatiques » ont la fâcheuse tendance à en rajouter, à en faire de trop ! Ils se disent plus c’est gros, plus ça passe. Mon grand public connard et bête à la fois, ne va retenir que les actes les plus cruels et ainsi je frappe son imagination afin de créer une telle émotion que je suis sûr, bingo, de renforcer mon statut de victime à statut hautement privilégiée quand même et protégé - jusqu’à quand ? - dans LA sphère d’influence.
Elle m’a autorisé et a donc consenti moyennant obéissance et grasse subsistance à entrer dans le cercle de « l’ensorcellement narratif biblique » autour de son état éternellement victimaire dont j’entretiens incidemment la perpétuation en exposant ma famille (et ainsi toutes les familles françaises de moyenne bourgeoisie notamment) à l’opprobre.
Vous voyez, je suis comme vous « de la communauté » une victime-type de la famille française-type, d’une France que j’abhorre ... « Famille je vous hais » donc toujours de la haine à vomir à pleine giclée, baveuse !
L’inversion accusatoire habituelle pour entrer dans la gloire, l’honneur du peuple élu. Moix est-il circoncis ? Va-t-il se convertir au judaïsme ? Épouser Dina ?
Son bouquin révèle en inversé ce qu’il a fait à son frère Alexandre. Son inconscient étouffe : seul échappatoire, accuser son frère, sa famille des propres tentatives de meurtres - eh oui ! - qu’il a commis sur son jeune frère. Je suis désormais tranquille, ce n’est pas moi qui ait torturé mais mon frère : poubelle de mes propres turpitudes .... « Pas besoin de le prouver, puisque c’est arrivé ! »
Il signe avec ce bouquin et tranche donc les liens familiaux puisqu’il en a shoasi d’autres, en sioniste pervers assumé.
Quant à Alexandre, il va encore bénéficier de la protection divine de notre Vierge-Marie puisque déjà, la notoriété maléfique de son anti-frère (encore un anti-...) comme anti-Christ d’ailleurs, sera une bénédiction pour lui et pour son avenir professionnel dans le cinéma, grand spécialiste de François Truffaut.
L’anti-frère se doute-il que la communauté exigera encore toujours plus, encore plus d’avilissements dans l’ignominie, en retour rien du tout : de l’illusion de servir à pas grand chose, son faux-argent gagné à se « pressetituer » dans les couloirs des médias aux ordres.
Les frères Edmond de Goncourt et Jules de Goncourt français de souche n’offrent pas de prix à des traîtres, comme vous Yann-Adolfo Moix-Ramirez.