PMA, les mises en garde des psychiatres
7 septembre 2019 08:28, par sèkipapaLa pauvre mère désignée comme (uniquement) porteuse de la première vidéo, qui est apparemment la mère tout court (génétique) des enfants, semble très troublée. L’homme à sa droite lui jette un regard de méfiance. Elle s’exprime moins bien, mais plus sincèrement que lui et son discours de vraie mère vendeuse de sa propre chair risque d’infirmer le sien, d’acheteur de son propre enfant.
Cette femme marquée par une vie difficile avoue ne pas pouvoir élever ces enfants, ce pourquoi elle les a vendus, la raison principale étant l’argent dont elle avait besoin pour autre chose que les élever ; on la sent qui se sent coupable, car elle a désacralisé sa fonction de mère, personnage vénéré dans toutes les cultures humaines.
Les enfants gardent certes le lien avec elle une fois grandis, ce qui est rarement le cas car il s’agit quand même d’une sorte de vol d’enfant, mais elle est perçue comme une domestique : la nounou, l’employée, la remplaçante, la femme de 2e catégorie, avec la fonction supplémentaire de fabriquer des gosses qu’elle ne bercera pas.
Ainsi la mère perd son statut enviable et devient la servante : "allez hop les enfants, au lit ! Hop, hop !". La mère concurrente, qui reçoit les câlins, c’est... un homme qui fait semblant d’être une mère, donc une femme.
Une vraie tragédie pour cette femme. Les enfants, de zéro à cinq ans, ont un besoin désespéré de mère. Ils l’adulent, la déifient quelle qu’elle soit, et font très bien la différence entre maman (qui bosse pourtant, absente la plupart du temps) et la nounou, très secondaire.
Ici les deux homosexuels sont la famille dominante bourgeoise, et la mère est comme une femme de la rue à l’honneur perdu, qu’on tolère auprès des enfants par une espèce de pitié.
Comment s’identifier quand on est le rejeton de ces gens-là ? Et lequel des deux hommes est votre vrai père ?
Dur, dur d’être un bébé !