Mélenchon dénonce un procès politique et balance le patrimoine de Belloubet
17 septembre 2019 09:04, par trop-perclusJ’ai essayé de comprendre ce qu’elle voulait dire par ce sibyllin : "j’ai effectué un trop-perçu". On dit "j’ai trop perçu " de l’administration, de l’employeur, du client... C’est clair, faut rembourser la somme indue. Si ce trop-perçu l’a été par omission d’information ou fausses déclarations de la part du receveur, faut payer une grosse amende, en supplément.
Mais effectuer un trop-perçu ?!!!
Elle n’a rien perçu, elle a soustrait ! Voire subtilisé (mais nous entrons dans des eaux troubles où veillent les crocodiles et non non non !).
Ou comment transformer le moins en plus. Car percevoir dans le cas du trop-perçu, c’est recevoir de trop. Elle n’a rien reçu de trop. Elle a gardé pour elle les sous dus à d’autres.
Confondre percevoir des biftons et les garder dans son bas de laine n’est pas une preuve de compétence pour un simple comptable. Alors pour un ministre...
Le trop-perçu se définit comme :
"1. Montant indûment perçu par un organisme public ou assimilé (...).
2. (...) sommes perçues indûment par un particulier"
Elle a peut-être raison sur la locution, il est possible qu’on puisse dire juridiquement ce qu’elle dit pour définir son trop-dissimulé, mais ça choque.
Il paraît qu’elle n’est proprio qu’à moitié de ces biens non déclarés. Le Parisien les évalue à 400 000 € tous ensemble. Or leur valeur actuelle sur le marché confondue serait plutôt d’un gros million minimum. Ce qui ramène son trop-planqué à 500 000 € environ. Plus son salaire, elle n’échappe pas à l’ISF.
Pensait-elle y échapper ?
Non elle ne pensait à rien, elle n’a plus sa tête, elle oublie. C’est l’âge. Les dendrites se brouillent, le scanner ne voit rien qui brille au fond de la vallée. Ce qui s’appelle rien.