Emma Becker et sa rationalisation de ses deux années au bordel (le patriarcat, et tout le reste du bordel féministe), ça rappelle ces mecs qui prétendaient aller au cinéma porno pour y faire de la sociologie !
En fait, on voit tout de suite lorsqu’elle évoque sa fascination pour les sex-shops qu’elle aime le sexe trash en soi — le bordel sexuel, quoi — et que cet appétit se situe chez elle bien en amont de toute l’idéologie féministe qu’elle ramène sur le plateau de la Grande librairie.