Lʼaffaire Epstein ou lʼApocalypse du désir
10 octobre 2019 10:20, par anonyme
Le bipède, cette forme de vie qui peut être la pire ou la meilleure, a créé l’argent qui, comme lui, peut être ce qu’il y a de pire ou de meilleur. Dans l’un comme dans l’autre cohabitent le pire et le meilleur. Il faut bien constater que, souvent, ce qu’il y a de pire comme bipède fait de son argent ce qu’on peut en faire de pire. De pire dans les moyens d’accumulation comme dans la façon de l’utiliser. Théoriquement, ces turpitudes sont canalisées par la ’’justice’’. Mais des organisations de la grégarité qui ont institué l’impunité totale dans le ’’commerce’’ à tous prix comme condition de survie l’ont emmené dans un labyrinthe où la ’’justice’’ ne trouve que des occasions de s’anéantir (ce que l’impunité des banquiers véreux lors du plus grand hold-up de tous les temps démontre suffisamment). Morale et moralité ne sont pas des valeurs qui s’échangent en bourse, mais ils ne devraient pas oublier, ces prédateurs toxiques, que les lois universelles les peuvent suspendre un jour dans une cellule jusqu’à ce qu’ignominieuse mort s’ensuive...