Allez, je vais faire un peu de psycho à deux balles...mais vérifiable pour le coup !
Les femmes qui s’entêtent à affirmer partout que le genre (homme ou femme) n’est que le résultat d’une influence culturelle ont un réel problème d’identité au départ. Ces femmes ou ces hommes, qui s’autodétermine comme l’inverse ou carrément comme indéfini, sont en quelque sorte "vide".
Il leur manque un maillon dans le cheminement normal de structure identitaire. Le passage se fait sur quelques années et il ne peut se réaliser que si les référents parentaux ont l’un et l’autre joué leur rôle correctement envers leur fils ou leur fille.
Le moment dit de "crise adolescente" est ce moment de passage. La fille se heurte avec sa mère et c’est le père qui "récupère" en quelque sorte sa fille et créé pour un temps une relation différenciée (il l’emmène au ciné, partage des événements de la vie avec elle). Ce faisant, la fille rompt ainsi le lien fusionnel d’avec sa mère (elle reviendra plus tard en bonne entente avec elle) grâce au père, dont le genre opposé permettra à la fille d’intégrer ce qu’on appelle l’altérité... précieuse notion dans l’avènement d’une identité solide et normale.
Pour le fils, le fait qu’il soit d’emblée de genre opposé à sa mère est un petit avantage au début seulement de l’identification masculine. Celle-ce ne s’intégrera solidement que grâce à la relation d’opposition qu’il aura à un moment avec son père puisque ce dernier est du même genre que son fils. Au cours de cet affrontement, le fils combat le père (le "tue" dirait l’inénarrable Freud), prend ensuite la "force". Lui aussi retrouvera son père avec de bonnes relations complices par la suite.
Pour la fille comme pour le fils, si ce processus se déroule bon an mal an comme cela, l’une et l’autre pourront devenir à leur tour père et mère et en général, on devient plus proches de ses propres parents parce qu’on vit à notre tour ce qu’ils ont vécu. On a grandi, on est devenu adulte en somme.
Les tenants de la théorie du "genre" est le fruit de personnes déjà perturbées dans ce processus. Une étape a eut des ratées d’une certaine façon. Et la fille ou le fils reste figé à un stade "pas fini"... d’où leur entêtement à défendre et justifier l’indéfinition.
Par ailleurs, le système, tel qu’il est devenu dans nos sociétés fatiguées et narcissique, a besoin d’un maximum d’indéfinis. Il est plus facile à un système d’aliénation de consumérisme pathologique de vendre ad libitum des trucs.