Gender studies : un historien du genre fait son mea culpa
8 novembre 2019 09:33, par Labelette
Bref, les militants lgbt (surtout trans) ont utilisé cette etude bidon pour "prouver" que les transsexuels ne sont pas des malades mentaux, que l’OMS à raison de les retirer en 2022 du registre des maladies mentales.
Du coup, la même erreur a t elle été faite avec l’homosexualité ? (discours de normalité et de banalisation dans les médias et culture avant le retrait du registre des maladies mentales par l’OMS).