Affaire Epstein : une ancienne mannequin décrit l’organisation sur "l’île du vice"
10 novembre 2019 01:30, par PMJLL
On peut aussi voir les choses un peu autrement :
Selon la mentalité prostituée, elles étaient de pauvres filles torturées. En effet elles n’avaient ni le droit de fumer (c’est inhumain), ni le droit de boire (de l’alcool). De plus, elles étaient sur une île paradisiaque, mais réservée égoïstement au seul propriétaire et à ses amis, sans jeunes touristes à draguer. La demeure était un somptueux palais privé, sans égards pour leur sensibilité de prolétaires besogneuses, qui ne peuvent pas se payer la même chose. Sur la plage privée, elles n’avaient pas le droit de choisir leurs tenues de bain et de farniente permanent et devaient utiliser les tenues (gratuites) « Victoria’s secret », même si elles n’aimaient pas cette marque. Pourtant, pas de beaux maîtres-nageurs coquins en vue. Le soir, elles dormaient dans des lits à une place, c’est tout dire. De façon à entretenir leur masochisme maladif, on les laissait même perfidement revenir souvent sur cette île en Boing privé, puis hélicoptère (voir la situation géographique de l’île Little Saint James sur Google Earth).
C’est de la barbarie.