C’est parole contre parole.
Quelques semaines, voire quelques jours après les faits, c’est déjà très difficile pour un magistrat de savoir qui ment, qui dit la vérité, alors 40 ans après.
Quelques soient les outrages subies par cette mannequin, si elle souhaitait dénoncer son agresseur, elle n’aurait jamais du attendre 40 années pour le faire.
Une telle dénonciation si tardive, quelque soit la victime, quelque soit l’agresseur (je me fiche qu’il s’appelle Polanski ou Duchenoque), c’est du grand n’importe quoi.
C’est anti-biblique au possible, le pardon des offenses étant un des fondements de la charité chrétienne.
Soyons chrétiens et ne faisons pas notre ces paroles porteuses de haines recuites et perpétuelles : "Ni pardon, ni oubli"
Rappelons nous la fameuse réplique de F Mitterrand à Elkabbach " Et dans 100 ans peut-être encore ... c’est l’entretien de la haine"