Bolivie – L’éviction d’Evo Morales, un coup d’État fomenté par les États-Unis
12 novembre 2019 10:16, par William
Conclusion un peu rapide quand-même. La fraude électorale est un grand classique en Amérique Latine, et Morales n’est pas apprécié de tous, ce serait plausible aussi. Quant à la théorie de “la droite violente, élitiste et riche” qui remplace les gentils dirigeants de la gauche, c’est un peu tiré par les cheveux. Regardez AMLO au Mexique, le grand “ami du peuple”, qui donnait quelques pesos en échange de votes et de participation à ses manifs (c’est utile, l’extrême pauvreté...) et hurlait à la fraude électorale quand il n’était pas élu. Maintenant qu’il est président, c’est loin d’être une réussite...