"Le 1er décembre, l’Élysée aurait pu tomber" : un CRS raconte le chaos des Gilets jaunes
14 novembre 2019 15:11, par domus
Mais pourquoi ces policiers ne les ont pas accompagnés jusqu’au bureau, dans le calme ? Car finalement c’est quoi tout ça : des français contre des français, des GJ qui défendent aussi les conditions de vie des familles des policiers ! ILs n’ont pas d’enfants, de conjoints, d’amis les policiers ? Ils sont tous riches à millions ? Pourquoi les policiers ne se rangent pas du bon côté ? A quel moment vont-ils comprendre qu’il suffit de ne plus obéir ? On a des ordres soit-disant, oui mais si les ordres sont à l’encontre du bien-être du pays, on aide ceux qui veulent en discuter. En Bolivie, le président a été destitué car l’armée et la police ne l’ont plus soutenu, donc ce qui peut se faire ailleurs, aurait pu se faire ici. Facile, simple et sans bavure. Un patriote, un vrai français, prend la place et ça repart pour reprendre les manettes de la France, c’est bien ce que veulent les GJ qui ont bien eu raison de ne pas se laisser bouffer par les partis ou les politiques. J’espère seulement qu’ils ne casseront rien, car le vandalisme n’apporte rien au fond du problème, et de bousiller le patrimoine relève uniquement de la connerie, pas de la revendication aussi légitime soit-elle.