Polanski, viol : Élisabeth Lévy décrète que Finkielkraut a droit au "second degré"
16 novembre 2019 10:28, par bourgeois gentilhhomme
Moi ce qui me tshauque, c’est Finkielkraut nous racontant avec son second degré (à travailler dur en solo), qu’il "viole sa femme tous les soirs".
À son âge canonique ? M’est avis qu’il cherche à nous impressionner, là. La jeunesse a passé-trépassé pour Finky, et il est largement arrivé au temps dangereux et mesuré où on se ménage dans son ménage.
En revanche les très-jeunes filles ont un droit imprescriptible à l’innocence protégée, et, un peu plus tard, à l’amour de jeunes gens faits pour elles. Les chenus, même encore battants, ne sont pas un choix de galants pour les petits bourgeons ou même les jeunes filles en fleur. L’affaire Sokolov du reste tend à prouver cette hypothèse validée par la coutume.
À la décharge de Finky : il semble s’occuper de sa femme, lui. Nul doute qu’il est un bon grand-père.
Contre l’insupportable De Haas, il faut d’autres humoristes. Je la croyais submergée dans les carboneries de Greta, celle-là. La voilà qui a trouvé un masque à oxygène.