Plainte pour viol : la justice va réexaminer le non-lieu dont a bénéficié Darmanin
17 novembre 2019 11:37, par sev@ culturvore
Merci à vous en retour pour l’intérêt que vous portez à mes réponses...
L’une des qualités que je considère hautement importante pour s’élever un peu est précisément l’honnêteté envers soi-même. La connaissance de soi apporte ce petit quelque chose qui fait grandement la différence : elle permet de sortir de notre propre discours d’auto enfumage.
Le comportement humain est tellement complexe (ce qui me rassure quant aux délires des fans de l’AI qui déjà s’emballent sur l’équivalent prochain d’une "intelligence artificielle" égale à l’homme) qu’il nous faut des années de vie pour saisir la duperie que notre propre esprit fabrique.
J’ai d’ailleurs compris, grâce aux analyses très dérangeantes de Soral (la féminisation du monde), que notre société ne pouvait qu’aller vers une forme inquiétante de barbarie dès lors où l’on "libérait" les femmes selon un modèle dicté par l’obsession douteuse de ces fameux "droits de...".
Non point que je dénie toute violence faite aux femmes, vu ce que j’ai vécu ce serait du masochisme, mais j’ai sincèrement épluché le processus très complexe, non linéaire ni logique de l’Être féminin. Cet état est indiscutablement structuré par de l’illogisme, de la sentimentalité sur à peu près tout, un goût évident pour l’enveloppement (maternage) mais aussi une violence féminine inouïe qui n’est pas physique mais psychique.
Les femmes compensent instinctivement leur manque de force physique par cette curieuse posture de victime, de petite chose fragile que l’on peut d’ailleurs très bien comprendre pour des raisons précisément de compensation.
Le mouvement des néo féministes (excessif) et cette vague d’attaque envers les hommes (les salauds avérés mais aussi globalement tous les autres) relève, à mon humble avis, du constat qu’elles font depuis quelque temps et qui démontre clairement qu’il n’existe aucun égalité au sens d’équivalence ou de similarité.
Ce constat les rend hystérique et les femmes hétéros sont donc tentées de rejoindre in fine une partie de l’idéologie du "genre". La tentation de "violer" (!) les lois naturelles qui légitiment la discrimination (laquelle permet justement d’intégrer la précieuse altérité, ciment de l’identité sexuelle) est au coeur de ces mouvements délirants.
Si les hommes sont à présent tous plus ou mois suspectés d’être des violeurs en puissance (ce que certaines néo cruches osent affirmer) c’est, me semble-t-il, parce que cela permet aux idéologues du genre d’imposer leur délire.