Mobilisation des Gilets jaunes à Paris : Jérôme Rodrigues gazé par les CRS
29 décembre 2019 18:31, par EnkiLes Gilets Jaune n’ont pas encore percuté que nous sommes en guerre. Jérôme Rodrigues est de ceux-ci. Est-ce du courage ou de l’inconscience ? Après plus d’une année de lutte, manifestations, meetings sur le RIC : bilan ? : « ils » s’attaquent aux retraites.
Le bulldozer avance. Les grenouilles prises aux pièges idéologiques, chimériques des Partis politiques, du divertissement et autres formes d’ingénieries sociale, gouvernances par le chaos, commencent à ressentir que « ça chauffe ! » : flash-ball dans les yeux, gaz lacrymo.
OUI, nous sommes en guerre, vraie guerre dans une vraie dictature. Nous ne sommes pas encore dans celle d’Augusto Pinochet – coup d’État du 11 septembre 1973 au 11 mars 1990 – Macronet et sbireCastaner : précurseurs, ils testent.
Tout ça : dans les cartons & agenda – voir protocoles 666 de Toronto 1967 et révélations de Serge Monast –
La population globalement ne bouge pas « encore » crétinisée, abêtie, ignorante des enjeux, accepte sa soumission tels des déportés en camp de travail, sachant par atavisme lointain inséré en ses gènes qu’elle recevra la matraque.
« La stratégie du choc » émotionnel + dissociations cognitives en tous thèmes sociétaux, domaines de l’existence quotidienne, fonctionne à plein afin que nul ne puisse se prévaloir d’ÊTRE, UN en lui-même mais dissocié, apeuré , affaibli.
Cette stratégie sème confusion, contradiction permanentes, à l’image même de la mort, de la dispersion en vue d’un état dépressif généralisé, d’impuissance.
Faire « œuvre mâle » en soi-même, c’est féconder ses profondeurs en retournant l’Histoire voir, lire, écouter, méditer, réfléchir, discerner. Celle des luttes de classes nous apprend l’envers du décor.
Ainsi, F. Cousin nous invite-t-il à découvrir en soi-même, l’écho de la « vraie » Parole de Marx.
M. Rodrigues n’attendez pas de perdre votre vie précieuse, comprenez l’Empire, son emprise au lieu de foncer tête baissée.
« On est là, on est là ! Même si Macron ne le veut pas, nous on est là ! ».
« Nous aussi nous sommes là, et nous serons toujours là », lance le préfet Lallement, « nous ne sommes pas dans le même camp, Madame » : aveu même de cette guerre de classes « d’un préfet de police de Paris ! »
« Ce qui tue le faible, fortifie le fort » = « ils » se nourrissent de nos faiblesses, ignorances, différences, divergences, lâchetés.
« Les chiens aboient après ce qui les domine ou après ce qui leur échappe » : telle est leur sombre maxime.