En octobre 2014 un gendarme a tué Rémi Fraisse avec une grenade. L’institution judiciaire vient de confirmer le non-lieu en faveur du gendarme. Cela est de mauvaise augure pour les victimes gilets jaunes qui réclament la justice pour les mutilations subits depuis novembre 2018, par des armes dont le pouvoir anti sans dents et pro-moteur de gens qui ne sont rien, sait qu’elles sont potentiellement mortelle.