L’enseignement de la Shoah jugé contre-productif par un responsable de la propagande
1er février 2020 15:35, par PatriciaAprès avoir bien entendu le prof. qui a fait des QCM en direction des enfants et dont le constat principal est : que les enfants sont obnubilés par la guerre, etc. je peux vous dire que si j’étais Maman actuellement, je ne laisserais pas mon enfant entre les mains de ces gens-là. Je lui épargnerais le passage par l’E.N. fabrique à républicain bornés... et je lui ferais l’école moi-même ou encore je le mettrais dans une vraie école non affiliée à l’Etat républicain franc-maçon matérialiste et mondialiste... Je le mettrais sans aucun doute dans une école religieuse, une vraie. où l’on respecte la Personne dans son être et son entièreté et où les apprentissages sont cohérents et traditionnels ; respectueux de l’innocence et de l’intégrité complet des enfants. Je peux en témoigner : j’ai connu les deux... l’école laïque et l’Institution religieuse. Je peux vous dire en pleine conscience que j’étais nettement plus à l’aise et que je travaillais mieux chez les sœurs. C’était peut-être plus strict, avec plus de discipline, mais au moins c’était plus cohérent et il y avait moins de bruit, plus de silence favorable à l’étude et à l’épanouissement harmonieux d’un petit être. Là, j’ai reçu des repères fiables et vérifiables qui m’ont été utiles dans ma vie, surtout dans les moments délicats, voire difficiles de mon existence. Dans l’école laïque, au lyçée, c’était l’incohérence : le bruit, la dispersion et l’agitation. Il y avait aussi, les injustices des profs qui favorisaient leurs préférées ; celles qui étaient bien dans le moule et possédaient bien les codes républicains, comme on dit maintenant ! Plus tard, je n’ai pas gardé les carnets de notes et de correspondance... j’ai réfuté l’autorité abusives de ces profs qui étaient loin d’être toujours à la hauteur. Je n’ai gardé que les diplômes que j’ai bien mérité... Ils ne m’ont pas vraiment servi car je n’avait pas de réseau relationnel influent. Pour conclure : je ne suis pas nostalgique de l’école laïque qui n’a jamais été "un ascenseur" social pour moi ni pour beaucoup de personnes. Je le sais maintenant ; c’est un leurre. Ce constat, je le valide, plus encore, avec le temps.
Nous sommes les esclaves d’une matrice du berceau jusqu’à la tombe et l’E.N. est le creuset principal de cette imposture. Pour sortir de cette prison : il faut s’éveiller au Réel et vivre relié à la dimension de l’Esprit-saint de Dieu ; du Transcendant, hors de la dualité de ce bas-monde. Il faut écouter son coeur.