Comment le rap et le streaming ont sauvé l’industrie musicale
10 février 2020 13:05, par jonathanJe pense qu’il y a confusion des genres.
comparer Jul, Gims, tel ou tel produit. Qui en fait ne satisfont que les commandes de radio. Il faut comprendre avant tout qu’un rappeur qui parle d’armes, de drogues, etc, ne le fait que parce qu’il y a une commande de ce type de la part d’un directeur de programmation.
Ceux qu’on appelle rappeur aujourd’hui ne font en fait que de la variété au meme titre que bruel ou claude francois en leur temps et comme le dirait Dieudo vendre de la merde emballée pour jeune pucelle decerebrée.
Il y bien des artistes qui prduisent eux enormement comme lucio bukowski ou autres et que personne ne connait parce qu ils ne passent pas en radio. Brassens lui meme a mon sens etait un rappeur, d’ailleurs on pourrait compter sur les doigts d’une main ses passages en radio sur une année.
Comprendre aussi que pour les angèle ou autre soprano !!! (qui étrangement ont des textes drolement inscrits dans la doxa actuelle), ils ne vendent pas plus de musique que toi ou moi et ne marchent pas plus non plus. Dans un contexte d’abrutissement generalisé les gens ne consomment que ce qu on leur propose et absolument rien d’autre. autrement dit Si on ne les imposaient pas en radio ou divers prime time sur les telés, ils ne seraient pas plus connus que ma grand deriiere un mic, simplement parce qu’ils ne sont pas meilleurs.