Jean Giono : le bonheur est dans le dépouillement et la simplicité
28 février 2020 13:32, par delphin
Giono qui parle, c’est visionner une France qui, je le crains, est déjà morte depuis un certain temps : celle qui a vu Verdun, le regroupement des terres agricoles, les veillées de Noel qui duraient plusieurs jours, etc....
Lire "l’homme qui plantait des arbres" : sa meilleure oeuvre est peut-être une des plus courtes...