Jean Giono : le bonheur est dans le dépouillement et la simplicité
28 février 2020 13:39, par Alan
Evidemment, Giono, superbe, et la critique de la consommation, juste et profonde.
Toutefois, il y a un point à compléter dans votre article, quand vous parlez des racailles américanisées des cités qui ne pensent qu’à consommer".
TOUT LE MONDE ne pense qu’au fric et à consommer, et en premier lieu, les bobos, droitos, gauchos et autres bourgeois qui ont détruit ce pays en votant pour des cons et en inventant justement l’immigration, les cités et le léchage de cul culturel des USA.
Sans ces abrutis innombrables et tous ces rockeurs français des 50’s et 60’s, on n’aurait pas pris l’habitude de lécher les amerloques comme ça.
Il ne faut pas oublier de rendre à César ce qui lui appartient, car ces responsables sont en tous points identiques aux racailles décérébrées des cités.