Zones de non-droit en France : "la menace d’embrasement est encore plus forte"
3 mars 2020 14:01, par QuentinoIl faut la mise en place d’une politique de réémigration comme De Lesquen propose : c’est la seule solution qui puisse éviter (seulement limiter en réalité) des confrontations sanglantes à venir :
1. Les titres de séjour des étrangers non européens ne seront pas renouvelés.
a – Le gouvernement sera chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation. Les Français de papier déchus de leur nationalité auront un titre de séjour de 5 ans. Une fois expiré, ils seront expulsés.
b – Les étrangers auront le droit d’étudier en France pendant cinq ans.
c – Instauration d’une taxe de séjour pour financer la dette publique et favoriser la réémigration.
d – Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique
2. Les étrangers européens devront demander un titre de séjour : fin de la liberté d’installation.
3. Il sera interdit de fournir logement, emploi, école, soins ou aide de toute nature aux immigrés illégaux. Ce délit sera puni de 5 ans de prison.
Un immigré illégal est par définition un étranger qui n’a pas le droit de séjourner en France. Les dirigeants d’association, les chefs d’entreprise et tous ceux qui fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque à un immigré illégal, ne serait-ce qu’en s’abstenant de le dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la république au titre de l’article L. 622-1 du code des étrangers, qui prévoit une peine de cinq ans de prison, étant précisé que les exceptions instituées à l’article L. 622-4 sont abrogées, ou au titre de l’article 434-4 du code pénal qui punit de trois ans de prison le recel de preuves.
4. Les immigrés illégaux ne pourront être soignés qu’au lieu de détention. L’AME (aide médicale de l’Etat) sera supprimée.
5. Création d’un secrétariat d’État à la réémigration. Les immigrés illégaux, ces hors-la-loi, seront exclus des droits civils. Ils ne pourront conclure de contrats. Leurs biens, s’ils en ont, seront confisqué.
Voici un aperçu, il y a des mesures à mettre en place, il faut juste de la volonté. Les français doivent oser reprendre de force le droit à la discrimination (préférence nationale) et arrêter d’être intimidé par l’anti-racisme.