Explications effectivement on ne peut plus claires, mais qui interrogent par conséquent sur la disparité bien réelle quant à la "qualité de vie" des prisons françaises.
Le lieu d’incarcération du condamné est-il lié à
l’emplacement géographique du tribunal qui rend le jugement
à la domiciliation habituelle du prévenu
aux places disponibles dans telle prison ou dans telle autre
à la durée de la peine
au motif de l’accusation
laissé au bon vouloir du/des juge(s) ?
Subir une incarcération à la Balkany étant sans aucun doute nettement plus facile à vivre qu’une incarcération à la Ramadan...