Coronavirus : l’espoir depuis la découverte de Sandro Giannini
14 avril 2020 09:30, par tjoeDes millions de personnes meurent chaque jour sans que cela nous touche et ce virus n’est rien en comparaison de notre stupidité et notre manque de spiritualité. Les bergers sauront mener leur troupeaux où bon leur semble simplement parce qu’ils ont bien appris de leur maîtres. Il ne sert à rien d’en vouloir à ces bergers et à ces maîtres puisque nous avons participé et nous participons encore à ce système inhumain. Nous nous sommes laissé prendre tous les pouvoirs basiques : celui de nous vêtir, celui de nous abriter, celui de nous défendre, celui d’attaquer, celui de nous nourrir, celui de nous soigner et celui d’échanger ( de vivre ) avec l’autre par nos propres moyens avec l’unique médiat qui nous a été confié à la naissance, ce corps que l’on écoute que trop rarement. Alors cette peur qui nous accompagne n’est pas accueillie sereinement et à la place nous faisons les autruches face à la mort et la douleurs des autres lorsqu’il s’agit d’y faire face avec notre propre corps et esprit. Alors il est facile pour moi comme pour vous d’exprimer mon incompréhension, ma colère à travers ces mots. Cependant, tant que je ne prendrai pas la joie d’écouter les mémoires qui me traversent, de les échanger avec les êtres qui m’entourent ( l’Environnement) alors mes paroles sont veines et gonflent la peur collective qui permettra au berger de continuer à me diriger avec ses chiens sans qu’il ne m’entende avec son coeur ( qu’on le veuille ou non il en a un comme nous, comme ses maîtres ). Il est complètement débile que la majorité d’un peuple ai peur de mourir ou de souffrir car il n’existe pas un être sur cette planète qui ne traverse pas ces états. Aimer la vie c’est aussi accueillir ces états le plus sereinement possible tout simplement pour qu’ils ne durent pas. C’est pour cela que nous sommes doté d’un cerveau et c’est parce-que nous vivons tous dans un environnement différents qu’il y a autant de manière d’aimer la vie. Alors tant que nous passons notre temps à culpabiliser ou rejeter la faute sur notre prochain nous nourrissons ce système et les maîtres de ces bergers. Nous leur donnons le baton pour nous battre, le serpent se mort la queue. Nous ne sommes pas encore en guerre civile, ou sous les bombes ou en train de mourir de faim ou de vivre les pires atrocités dont nous sommes spécialistes dans l’histoire qui ne sert qu’à nous éloigner de notre présent.