Les néolibéraux appellent « néonazis » ceux qui portent des discours non-conformes à leurs dogmes.
Leur religion à base d’antiracisme niais, d’identité « liquide », de sans-frontiérisme béat, d’internationalisme mal-compris, de point médian, de Shouhia, de « féminicide », de culpabilisation écologique et d’adulation de l’argent, tout ce foutoir incohérent, ne supporte plus la contradiction. Il est tellement branlant que la moindre once de pertinence menace de le voir s’écrouler.
Pour cette raison il collent dans le même sac tous les sites où subsistent des parcelles de liberté et de bon sens. Les internautes contestataires deviennent des crypto-nazis au mépris du moindre sens de la mesure.
Qu’espéraient-ils tous ces crétins ? À force de polariser les gens sur des pulsions primaires — la physionomie et la sexualité — et de s’en tenir au pathétique plutôt qu’à la logique, dans l’unique but de signaler leur grande vertu passant par la défense des « minorités » toujours « opprimées », il ne faut pas qu’ils s’étonnent d’un retour brutal de manivelle.