La lutte contre la haine doit s’accompagner de la lutte contre la tristesse.
La tristesse plombe nos rapports en société autant que la haine...
La tristesse ne nous permet pas non plus d’aller de l’avant, ni de penser Printemps.
La tristesse n’est pas bonne pour les affaires non plus, elle endigue l’action et l’optimisme, qui sont indispensables à la réussite de toute entreprise. La tristesse créé le chomâge, la misère et la pauvreté.
Qui n’a jamais eu à subir une personne dépressive, qui lui a retiré toute son énergie, après s’être plainte pendant une heure de ses propres malheurs ?
On doit interdire aux gens de pouvoir se plaindre et de s’adonner au ressentiment dans les lieux publics comme dans les médias et sur les réseaux sociaux, au nom du bien et de la préservation de la santé psychique de tous.
Cette attitude n’est pas compatible avec les valeurs de la République et notre nation de progrès, qui se doit d’offrir à tous un égal accès au BONHEUR !