Depuis déjà longtemps le seul endroit où exprimer des opinions saines est le monde virtuel. Dans la vraie vie, une timide remarque à l’encontre de la doxa vaut au mieux un silence.
Sur qui pourrons-nous compter demain dans notre environnement proche, quand la révolution du masque se sera encore étendue ? J’anticipe déjà les désillusions, quand certains diront : "Finalement je me suis fait vacciner, on ne sait jamais, comme ça je suis tranquille.". Où faudra-t-il alors se réfugier contre la violence de la bien-pensance ?
L’homme est faible par nature. Une propagande pernicieuse et continue finit par vaincre sa résistance s’il n’a pas en lui un ancrage profond dans une croyance intangible. Celui qui croit en Dieu ne peut douter que son Créateur l’ait doté d’un corps capable de résister à un virus sans reprogrammation humaine. Mais qu’est-ce qui peut protéger les autres de la propagande accompagnée de quelques contraintes ?
Il ne suffit pas de croire seul dans sa bulle pour éviter les menaces. Les croyants avaient fini par accepter que la foi soit combattue dans la population au nom de la liberté. Et ce sont les masses dénuées de foi qui vont maintenant approuver et permettre les restrictions de liberté, au gré des fausses croyances répandues par le système. Il y a là une leçon à tirer si nous ne périssons pas. La liberté érigée en principe absolu est un piège. L’égalité est une illusion, et une arme au service de ceux qui la prêchent. Quant à la fraternité, elle ne peut s’entendre qu’entre gens unis pour le bien.