Le satanisme dans l’industrie du divertissement
17 juin 2020 13:47, par Golemagogo
Au lycée il y’a environ 15 ans de cela, j’ai entendu parler du satanisme véritable pour la première fois de ma vie.
Une « copine » métalleuse-gothique pôle-danceuse bisexuelle m’a dit qu’elle l’était sincèrement, et qu’il ne s’agissait pas d’être méchant, mais juste d’un système de valeur plus matérialiste et égoïste menant au plaisir, mais aussi plus scientifique et rationnel ; le camp du bien selon elle, qui semblait chiffonnée par la culpabilité catholique « aliénante » et ses mensonges poétiques.
Avant ça je pensais que ça n’existait pas, mais le satanisme est bel et bien là, décomplexé, et présente même sous une forme « modérée » qui se veut sympathique et séduisante par opposition à l’austérité de la foi catholique.