La guerre racailles–Tchétchènes ou l’effondrement néolibéral de l’État
19 juin 2020 00:01, par DBonjour, je vois beaucoup de personnes ici faire les savants à propos du peuple tchétchène, et de par leur ignorance les diffamer.
Je suis tchétchène et j’aimerai remettre certaines choses au claire.
Certains affirment que nous sommes ici car chassé par Kadyrov et Poutine, et que nous sommes des terroristes en puissance. La majeur partie des immigrés tchétchènes venu en France sont arrivé dans les années 2000 pendant le second conflit tchétchène-russe, pris entre les bombes russes, les séides wahabite envoyé par l’Arabie saoudite (et certains tchétchènes les ayants rejoints) et faction pro russe.
Les tchétchènes qui sont venu en Europe sont pour la plupart des familles ayant échappées à tout cela, aux persecurions de ces différentes factions. Et il est difficile de défendre sa patrie et prendre les armes quand il n’y a aucun groupe pour représenter le peuple et ses besoins dans ce bourbier.
Nous avoir accueillis, loger et nourris en ces temps difficile honore la France au plus haut point, et je lui en serait à jamais reconnaissant.
Bien sûr qu’il y’a des gens peu recommandables qui ont du passer la frontière et venir ici (ayant le passeport russe il y a beaucoup de non tchétchènes des républiques alentours qui ont profité de la guerre pour se faire passer pour les nôtres et sont venu vivre ici également), mais c’est aux rg de les repérer et disposer de ces gens la, ou renvoyer chez eux ceux qui ne respecte pas les règles de l’hôte qui les a nourris.
Pour finir beaucoup ici confondent les Balkans et la Tchetchenie. Citez moi un seul réseau de prostitution, de drogue, ou mafieux tchétchène en France, il n y en a ni à Nice ni à Marseille...
Et jamais les gens de chez nous ne se rassemblerais en masse pour défendre un réseau de drogue ou point de vente. Et je ne vous parlent même pas de prostitution, c’est le déshonneur absolu.
Les très (très) rare vendeur sont souvent des jeunes ayant grandis dans des quartiers et influencé par la culture racaille, que nous ne considérons même plus comme l’un des notres.
Les conflits avec les racailles ne sont pas des conflits de territoires, on leur demande juste de ne pas vendre devant nos bâtiment, nos femmes et enfants.