La malédiction talmudique du clan Kennedy – Laurent Guyénot répond aux questions de Rivarol
17 juillet 2020 07:47, par MivilleUne autre preuve que l’assassinat de Kennedy ne fut pas en premier lieu une vengeance talmudique : les talmudistes n’en avaient pas besoin, Kennedy, qui ne leur refusait rien d’important en fait (de par les clauses du projet Manhattan les juifs américains possédaient 100% du nucléaire américain, et Kissinger trouvait qu’Israël manquait de maturité pour tout avoir) était atteint de 14 maladies chacune d’entre elles mortelles (dont la leucémie, la thalassémie, un cancer rénal, une variété de paludisme non traitable, une variété très exotique et mal connue de syphilis) et incapacitantes dont il combttait les douleurs extrêmes par un coktail de drogues à tuer un cheval de même que par une activité sexuelle déchaînée. Le type n’en avait que pour quelques mois à vivre tout au plus et il n’était désormais plus en état de mener à bien ses tâches présidentielles : Johnson s’occupait déjà de presque tout, alors à quoi bon pour le Mossad enfoncer une porte aussi grand ouverte ? D’autant que comme vous le dites si bien Johnson lui-même était ce sayan juif idéal de double nationalité israélienne au plus haut échelon du Mossad le mieux placé pour agir. Johnson tenait toutefois à une certaine date astrologique propice à sa carrière.
En fait c’est Johnson qui l’avait choisi en prévoyant sa mort probable dès l’élection de 1960 pour pouvoir le remplacer en temps opportun en s’abritant derrière son image parfaite de héros s’étant tué à la tâche, parce que Johnson lui-même savait n’avoir absolument rien de charmant et être incapable de séduire l’Amérique en quoi que soit : c’était un Démocrate réactionnaire sudiste ayant cherché à plaire à sa clentèle blanche texane bien particulière (avant 1960 il avait voté contre toutes les premières mesures anti-ségrégationnistes d’Eisenhower). Mais en même temps sans Johnson et son électorat Blanc sudiste Kennedy n’avait aucune chance. Kennedy avait toutefois de son côté plusieurs mafias qui par leurs actions violentes lui valurent le nombre d’états clés qu’il lui fallait et de façon très inattendue, avec une des plus petites minorités de voix de l’histoire des USA.
Sans l’aura de Kennedy mort en fonction et le court virage à gauche qui en résulta dans l’opinion, jamais Johnson n’aurait pu passer son train de mesures de déségrégation, d’allocations sociales pour les noirs et marginaux inactifs volontaires, et d’ouverture toute grande des portes de l’immigration à la main d’oeuvre peu qualifée des pays pauvres et non occidentaux.