Bayonne : les catégories populaires, victimes de l’impunité du lumpenprolétariat ?
21 juillet 2020 03:49, par ledaron
Ses sauvages ne sont que NOS sauvages.Ils sont le reflet d’une société ultra individualiste qui ne jure que par l’individu roi,hédoniste.Ils ne sont que l’image dans un miroir que nous ne voulons pas regarder.Ils ne sont que la composante d’une population à cran,décliniste,jamais contente adepte de la camisole chimique et des alcools.Il suffit d’observer le comportement de chacun sur la route,dans les lieux publics .Agacements ,énervements sont le lot quotidien d’individus qui se pensent malheureux.
Jusqu’ou ?