Lorsque des auteurs juifs définissent le racisme…
25 juillet 2020 11:50, par questionçà faisait longtemps que j’attendais un tel article, qui définit le genre de manipulation à laquelle moi, petit goy occidental, suis soumis depuis des dizaines d’années, simplement parce que ma tête, mon attitude, que sais-je encore, ne "leur" reviennent pas : "on voit tout de suite que c’est un facho", "on voit tout de suite que c’est un macho", "on voit tout de suite que ...". C’est de la manipulation par culpabilisation imaginaire, et je suis bien aise de constater que cette manipulation ne remonte pas à l’après-deuxième guerre mondiale, par une espèce de crainte du "retour des heures les plus sombres", mais qu’elle avait déjà commencé bien avant celle-ci, avec des gens comme Trotsky, des gens qui "voyaient bien que" il y avait quelque chose de "facho" chez les goys occidentaux. Et peut-être peut-on faire remonter ce type de "pensée" encore bien plus en amont. Il y a une tendance particulièrement déplaisante chez ces gens qui consiste à projeter chez les autres leurs propres "défauts" (pour rester poli), une tendance à s’autoriser à soi-même ce qu’on interdit aux autres (identitarisme, racisme, protectionnisme et repli sur soi, dureté, arrogance...), une tendance à cultiver à son propre égard un mythe de la perpétuelle innocence, tandis que ce serait le camp d’en face qui serait perpétuellement coupable du pêché originel de "fascisme". N’oublions d’ailleurs pas par qui la notion de pêché originel a été introduite. La manipulation des consciences remonterait-elle à si loin ?