Alain Soral en prison : la liberté d’expression ne se partage pas
1er août 2020 14:14, par Louise
Moi c’est le "non suivie d’effet" qui me choque.
Comment peut-on reprocher a quelqu’un quelque-chose qui n’a pas eu lieu ?
Comment peut on incriminer quelqu’un en admettant par l’intitulé même que ça n’a donné lieu à la commission d’aucun crime ou délit ?
Si M.Soral avait,de par son propos ,rassemblé les foules violentes (sur son nom ou ses écrits/déclarations) mais même pas !
On laisse courir les agitateurs professionnels, on ne touche pas à leurs réseaux (pourtant rodés) mais on s’en prend à l’analyste, au philosophe,au tribun.... on lui reproche quoi ? d’avoir de l’audience ?
Faudrait-il rééduquer le peuple ? N’est ce pas finalement là le problème de fond pour le pouvoir en place ?