Ce qui m’étonne le plus, c’est l’avion qui s’est écrasé sur le Pentagone.
Car pour suivre sa trajectoire selon les radars, les pilotes ont dû encaisser des accélérations équivalentes à 2 fois leur poids, tout en prenant les meilleures décisions à chaque seconde, y compris les décisions concernant l’altitude car le Pentagone est un bâtiment bas contrairement aux gratte-ciels.
Notez que tout changement d’altitude a un effet immédiat et puissant sur la vitesse des avions. Et la vitesse engendrée, sur les diamètres des courbes de trajectoire.
Attention je ne soutiens pas qu’il n’y avait pas d’avion, il y a trop de preuve du contraire, mais ce n’était pas trois pilotes en simulateur avec 20 heures de cours qui ont fait ça.
Mais à la fin des années 1990, une nouvelle technologie venait d’arriver : le missile de croisière guidé GPS.
Alors pourquoi pas une petite modif dans l’avion pour y brancher l’ordinateur d’un missile de croisière, voire juste de changer le logiciel ...
Et pendant ce temps-là, à New York, deux avions détruisaient trois tours (version officielle).