Trump : "Je ferai toujours passer les travailleurs américains en premier"
26 septembre 2020 13:53, par julotAu delà de certaines prises de positions discutables (gaz de schistes, défenses militaires à géométrie variable, les concurrents déloyaux....), je rappelle qu’un président américain n’a pas le quart des pouvoirs que peux en avoir un président de la 5ème république en France.
Les contres pouvoirs multiples et disséminés à travers les états composants les états unis sont légions. Un mille feuille maillant leur territoire à une échelle équivalent à 17 pays comme la France.
Il y a des états tellement gangréné administrativement que cela court-circuite les décisions gouvernementales dans tellement de domaines que cela serait trop long à exposer ici. Cependant le droit américain est un savant mélange d’équilibre entre l’autonomie des états membres (politiques intérieurs) et les intérêts supérieurs des États Unis (politiques extérieurs).
L’administration autour de son président Trump doit aussi composer avec le congrès unis contre lui, une cour suprême plutôt force d’opposition dont la présidente nommée par le président récemment devrait être élu par le sénat qui a refusé deux procédure de destitution contre lui. Il couperait donc l’herbe sous le pied de ses ennemis qui ont utilisé la cour suprême contre le président dans une manipulation du droit en falsifiant les preuves sur le schéma qui a autrefois conduit les États-Unis à rentré en guerre avec l’Irak sur un mensonge avéré.
Il a donc un Sénat et bientôt une cour suprême avec lui, et compte bien lors de son prochain mandat nettoyer un congrès croulant sous la corruption.
Il y a toutes les procédures pouvant être lancés contre les gouverneurs ayant fait preuves de laxismes à l’encontre des mouvements insurrectionnels sur fond de colère raciale pilotés par des mouvements militants d’ultra gauche ayant pris le contrôle des universités formant des leaders politiques souvent démocrates.
Il a également les syndicats dans le viseur devenus de véritables organes de déstabilisation sociale par la propagande sociétale, contribuant à la mort pur et simple des classes moyennes du pays tenant à bout de bras une économie en asphyxie financière.
On assiste à des élections américaines sous hautes tensions. Tout dépend du niveau de conscience du peuple américain et du talent d’un Trump qui en appelle au soutient populaire contre un appareil médiatique survolté.