Premier débat Trump-Biden : une foire d’empoigne
1er octobre 2020 10:51, par goybandSur la forme, aucun gagnant, Biden a dû être briefé pour ne pas se laisser enfoncer par l’agressivité naturelle de Trump, "Sleepy Joe" a donc forcé sa nature et s’est même montré le plus grossier, pour un résultat chaotique, une véritable cour de récré, un exercice de com globalement raté des deux cotés.
Sur le fond, on se rend bien compte que les ingénieries Floyd, insérées dans celle du Covid, servent d’arguments quant à occulter et attaquer le bilan Trump.
On peut même théoriser que ce sont deux ingénieries consubstantielles, quitte à ce que l’ingénierie racialiste vienne contredire les principes de précaution, contradiction justifiée, notamment en République par Castaner, par un combat qui mérite une exception dans la logique de l’Etat...d’exception.
En vérité, en plus de contrôler le peuple en colère sociale légitime par la paramentique du masque, que ce soit via la première et probablement la seconde vague, plus que de justifier le grand reset théorisé par Davos, il semblerait que ce soit bel et bien Trump la cible principale de ces ingénieries, comprendre faire en sorte qu’il ne soit pas réélu.
Ce qui signifie que pour justifier le chaos Etats-uniens jusqu’aux élections, il faut l’image des peuples masqués voire confinés aux quatre coins du monde, des faits divers racistes/anti racistes et surtout, il faut une Chine en phase avec cette stratégie.
Les sinophiles Européens (ex Raffarin) sont des progressistes et privilégient le multi-latéralisme au bi-latéralisme Trumpien, ce dernier étant mortifère pour la croissance Chinoise à deux chiffres, donc mauvais pour le commerce mondialisé.
Comme par hasard, tout partirait du Pangolin avec une Chine qui, elle, a vaincu le virus, à contrario de nous, donc à contrario de Trump...
Bref, le complot mondialiste utilise les peuples afin de justifier ses attaques sur l’impéritie de Trump quant à endiguer racisme et crise sanitaire, quitte à ce que les dirigeants Européens soient accusés des mêmes maux, mais l’enjeu est tel, que la fin justifie tous les moyens, y compris des faillites ciblées et une surmortalité dans les Ehpads.
C’est un duel à mort entre la conception conservatrice et progressiste du néo-libéralisme, entre deux évangélismes également, avec un troisième (fondamentalistes compatible avec le mosaïsme) qui tirent probablement les marrons du feu.
Les réseaux anti Trump sont trop nombreux et trop bien implantés dans les Etats-nations, pour que Trump puisse rempiler.