Louise Glück, une vieille poétesse juive new-yorkaise, rafle le prix Nobel de littérature
9 octobre 2020 13:08, par Pierre
Il y a toujours chez les poétesses cet égocentrisme forcené : "Moi", "mon corps", "mon nombril", "Je", "Me", "Mon cul" (pardon, c’est vulgaire, mais tout le monde comprendra l’idée) ! Elles ne font que parler d’elles, en des termes simplistes, elles n’apportent rien à la littérature ! J’ai plus de respect pour la jolie brune de la photo du dessus : au moins, elle a compris, elle, que quitte à parler de son corps, une bonne photo valait mieux qu’un long poème !