Louise Glück, une vieille poétesse juive new-yorkaise, rafle le prix Nobel de littérature
10 octobre 2020 05:06, par Hannibal Lecteur
Je suis tout à fait d’accord que dans ce monde de corruption, les honneurs reçus (Légion d’honneur, caveau au Panthéon, fauteuil à l’Académie Française etc.) sont un indice du degré de pourriture de leurs récipiendaires. Il n’y a qu’au Bal des Quenelles que l’on puisse se sentir honoré d’être des lauréats. Mais pour le Nobel de Littérature, on peut trouver, tout de même, quelques exceptions. John Steinbeck, par exemple, dont Les raisins de la colère témoignaient de son parti pris pour les paysans et contre les banquiers...