Clefs de lecture #10 – La préface de Phénoménologie de l’esprit de Georg Wilhelm Friedrich Hegel
23 octobre 2020 06:01, par SOCRADESoral aime bien les explications dialectiques : dialectiquement Jésus c’est à dire le dieu d’Amour est le dépassement-négation du dieu de haine du judaïsme et Hegel est le dépassement-négation du dieu d’Amour, qui retourne en essence au dieu de Haine mais sous la forme de sa Vérité métaphysique, la dialectique, dont le caractère diabolique est explicite dans la définition qu’en donne Hegel : la dialectique est la destruction de toute chose.
Il y a une seule chose à retenir là-dedans : on est enfermé dans la pensée juive.
La dialectique n’a rien d’universel. La dialectique c’est la contradiction mais qui "pense" noyé dans la contradiction : les gonzesses ! La dialectique est la signature hébraïque de la pensée juive, c’est à dire la pensée d’une tribu d’hommes arabes oppresseurs de femmes donc jamais sélectionnés pour leur courage et leur intelligence à séduire les filles et qui au fil des milliers de générations ont pris cette mentalité d’inversion contradictoire et laide qui est fondamentalement mentalité d’invertis, c’est à dire d’hommes poursuivant des buts masculins de conquête avec une mentalité de femmes. On est dans un processus d’inversion du processus de création vivante fondé sur la selection sexuelle, sélection qui doit être opéré librement par les femmes : c’est ça la source causale de l’appel au néant, à la destruction -ie l’inverse de la création- de toute chose qui est l’essence de la dialectique.
Cette explication est plus puissante qu’une explication dialectique, elle va vraiment au fond des choses. Pourquoi ? Parce que c’est pas du contradictoire inverti mytho juif, c’est pas de la brume allemande, c’est pas du fantastique mexicain : c’est de la belle pensée claire française carrée-cartésienne.