31 mars : 3523 décès Covid (au total)
1er juin : 28714
Rien d’étonnant, donc, à ce que rien n’apparaisse au premier trimestre.
Tous les chiffres sont disponibles, et même si l’on doit douter que tous ces gens soient morts du Covid (Salomon ou Véran, je ne sais plus, expliquait lui-même qu’on comptait très large), et même si une partie de ces morts est sans doute plus l’affaire des dirigeants que du virus : Il y a bien une assez nette surmortalité due au Covid.
Et c’est encore plus manifeste si l’on regarde par département, ce qui évite de s’aveugler en mélangeant les départements où la mortalité a baissé, comme dans l’Ouest, et ceux où elle est plus que doublée par rapport à l’année précédente, comme dans l’Est...
Même en prenant en compte l’incidence quasi-nulle de la grippe cette année : d’avantage de vieux et de faibles sont morts que lors des années précédentes.
Paix à leurs âmes.
Je n’affirme aucunement que cela justifie la psychose ou la destruction de notre économie, mais c’est un fait.