intéressante analyse. Je suppose que nous avons des intérêts à défendre là-bas. Y compris notre approvisionnement en uranium, dont dépend notre électricité (un des derniers trucs pas encore démantelés, mais ça ne saurait tarder, avant de devenir nous-mêmes un pays du tiers-monde).
Quand nos militaires rentreront en France, ils auront peut-être le même sentiment que les soldats soviétiques après le retrait d’Afghanistan. De revenir dans un pays disparu. J’espère qu’à ce moment-là il se trouvera les ressources pour un grand sursaut national-révolutionnaire (incluant une vaste réémigration des éléments non-assimilés ou inassimilables).
Je crains parfois que nos militaires n’aient plus ce sentiment patriotique profond. Que certains servent le pouvoir profond anti-français, voir dans le rêve romantique d’une France cosmopolite. D’autres servent le pouvoir sans réfléchir à la manière de certains escadrons de CRS actuellement. Ou enfin que d’autres servent par individualisme guerrier, par goût de l’aventure personnelle et de la gloire virile, mais sans vision patriotique.
Voilà, j’espère instamment me tromper. Mais j’avoue quelques doutes du côté de l’armée actuelle. Peut-être certains sont mieux informés.