Face à la politique d’agression oligarchique, la résistance française s’organise
7 novembre 2020 12:16, par BarnabéLa Résistance se fait aussi par la connaissance du droit.
Connaître la hiérarchie des normes juridiques : au-dessus de la Constitution de 1958 on a le bloc Constitutionnel où l’on trouve entre autre la Déclaration de 1789 et celle de 1948...De la même manière qu’un brigadier obéit à un colonel , la Constitution obéit au bloc Constitutionnel...ça signifie que le régime républicain peut disparaître (et il en prend bien le chemin)reste le Bloc Constitutionnel.
Dans le bloc Constitutionnel on trouve la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 où l’article 2 précise " : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamées dans la présente Déclaration" et dans ces droits on trouve :
"la liberté de circuler librement" art.13
"la protection contre les traitements dégradants"(port du masque)art.5
"droit à la liberté et à la sureté de sa personne" art. 3
"droit à la reconnaissance de sa personnalité juridique en tous lieux de sa "personne juridique""(nul besoin de "papiers d’identité")art. 6
Et si le gendarme, le policier ou le magistrat ne comprend pas , rappelez lui le préambule de la dite Déclaration :
"Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l’homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l’humanité"
Rappelez le code de déontologie du gendarme et du policier qui dans l’un de ces premiers articles dit que le policier ou gendarme ne doit pas faire des actes contraire à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Agissez envers lui avec fraternité : "les hommes agissent en fraternité les uns envers les autres" (art.1)
Avant d’être des "citoyens de la république" nous sommes des êtres humains vivant, nous sommes "doués de conscience et de raison" (art.1) et c’est parce que nous avons la raison que nous percevons le mensonge de cette fausse pandémie et qu’ainsi la république s’étant disjointe de ses fondements humains, nous nous en libérons et nous plaçons sous la protection de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.